La prééclampsie on la connait tou.tes de nom, mais qu’en est-t-il réellement ? Chaque année, cette pathologie touche entre 2 et 8 % des grossesses dans le monde… et, en cas de grossesse gémellaire, le risque est 3 à 4 fois plus élevé.

Pour en témoigner, j’ai reçu Marion, maman de Marcel et Gaston, qui a vécu cette complication pendant sa grossesse.

Dans cet épisode :

• Marion raconte, comment lors d’un simple rendez-vous de routine avec sa sage-femme, on lui détecte une tension élevée et une forte concentration en protéines dans les urines.

• Elle revient sur son hospitalisation en urgence à 32 SA où le diagnostic de prééclampsie est posé, et sur la décision des médecins de pratiquer une césarienne quelques jours plus tard puisque ses symptômes continuent de s’aggraver.

• Elle nous explique qu’après l’accouchement et la délivrance des placentas, de nouveaux symptômes apparaissent, alors que ses bébés, nés prématurés, sont, eux, transférés dans un autre hôpital. S’ensuivent pour elle plusieurs jours d’examens et d’attente, le temps que sa tension se stabilise et que son corps retrouve un fonctionnement normal… ce qui lui permettra de pouvoir enfin rencontrer ses fils.

• Enfin, elle nous partage les signes d’alerte à connaître pour mieux détecter la prééclampsie et l’importance de surveiller sa tension tout au long de la grossesse pour agir au plus vite en cas de problème.